Il n’y a pas de vie, il y a des maillages,
Plus ou moins fins, par lesquels l’existence
Passe puis s’arrête,
Les mots qu’on prononce sont pour le Temps
Et s’arrêtent aux croisées un peu après par règle.
Par exception, ils parviennent
Mais c’est comme une monnaie ancienne
Lancée avec force et valant
Par la tête qui l’orne, verte et usée.
Le tissu c’est de la Physique et du Temps,
Peu à peu chargé des histoires qu’on a
Pour la plupart oubliées.