
La répétition, porte par laquelle entre l’infini dans le monde clos,
S’appelle du nom de la prière à nouveau. Les lacs au cœur de la forêt,
Sont pleins d’eau de pluie tombée depuis l’été.
Il n’y a plus d’avertissements incessants, il n’y a plus d’alarmes enfantines.
L’air qui était plein à craquer une allumette, se vide dans la rivière.
Une immense machine, s’interrompt, cette frontière est un statu quo.
Les villes se contractent et reviennent autour du maréchal ferrant.
Dans les rues, les combats sont vieux, on rentre chez soi ne craignant plus
D’être sans retraite. Le chef parle à la radio, les écrans sont éteints,
On oublie enfin. Certains vont choisir d’y croire, d’autres désespérent :
Cela n’a aucune importance, personne ne sortira vivant du temps présent.
Ceux qui viennent seront immortels et ne mangeront plus de sucre,
Ils regretteront n’avoir pas connu nos garde-boues ni nos roues arrières.
Crédit image : Internet K-Hole