Le coeur, notre fondateur, retrouve son chemin par l’ascension
A regret de l’âge dans la chair et qui toujours désire,
Quand la voix du concierge derrière la vitre s’épuise à expliquer
Qu’il ne garde rien des corps, et qu’il lave à grande eau le trottoir
Des pêchés invisibles de chez nous, les hommes passent
Avec l’air d’aller chez eux, et les femmes qui les attendent
Conservent une coquetterie derrière les portes ; et
Quand elles caressent ce qu’elles doivent, elles caressent
Ce qu’elles veulent, et font aller la messe, et font s’ouvrir le ciel.
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