Il y a un cercle, dans lequel tout le monde se trouve,
Celui des circonstances. Vous pouvez, tel un soldat,
Le déranger : l’agrandir ou selon l’effacer.
Il y a une musique – le monde saigne en musique –
Celle des arrêts et des accélérations du temps.
Et quand on marche à son pas, on se perd,
Quand on l’ignore, on devient. La plupart du temps,
On se perd et prépare le voyage.
Crédit image : Milan Kundéra/AFP