Querelle prise entre les amis anciens
Qui semble dérouler un parchemin
Partageant l’infini inexorable du train de marchandises ;
Querelle qui dit la vérité avant-dernière de la vie
Dans le charbon des molécules tetrahédriques
Et laisse un temps très court
Pour s’offrir le repos, pour tout se pardonner.
Il faut bénir à partir de son dieu intérieur,
Et reconnaître par la perfusion qui pend à la potence,
Gouttant de la vie comme une clepsydre,
De quoi est fait le temps avant la pendaison
Dont l’amitié forme parfois le verdict.