Quatre âmes dans cette économie en vain ;
L’une à vendre le pain, l’une à vendre l’eau
L’une à être le souverain, l’une à n’être rien.
Et chaque mot aiguisé,
Et chaque regard mauvais ;
Le moindre bruit inquiet,
Tout qui puisse arriver.
Pus qu’une voix voulant élever le jeu,
A certains il ne reste qu’une carte en main,
Et d’autres ne souhaitent plus la jouer.
Quatre âmes dans ce royaume de rien ;
Et chaque coup retenu,
Chaque sanglot étranglé,
Le rocher et la plaie,
La famille et le royaume.